Le premier billet alerte sur l’angoisse générée par ces informations et sur la nécessité d’un accompagnement psychologique. Il pose aussi la question de la transmission de cette information aux autres membres de la famille potentiellement touchés. « La loi actuelle prévoit un système compliqué qui va devoir être revu lors de la révision de la loi de bioéthique » souligne l’auteur qui met en garde contre les tests qu’on peut aujourd’hui trouver sur Internet…

Comment annoncer à un couple, parfois à toute une famille, un diagnostic qui relève pourtant du secret médical ? Que penser du silence médicalisé ? Le second billet donne des exemples de situations concrètes et propose une attitude spirituelle : celle de « se savoir un instrument entre les mains du Seigneur » et de « confier, humblement, le reste au Seigneur ».

Retrouvez chaque jeudi un nouveau billet sur le Blog bioéthique de l’Eglise catholioque.